Une présence qui ouvre à la joie

De la violence qui surgit suite la mort d'un conjoint, on garde toujours des traces, des blessures. Et parfois, le sentiment d'une présence qui continue d'accompagner, de soutenir, les membres d'une famille meurtrie. Et il arrive que, le temps aidant, la blessure se panse peu à peu. Monique nous partage ici son expérience.

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Le deuil, parlons-en: "J'ai peine de votre peine"

Le deuil, parlons-en: "J'ai peine de votre peine"

En ces termes, saint Vincent de Paul soulignait l'empathie que chacun peut avoir pour ceux qui souffrent de la perte d'un proche...

Un article est paru dans les cahiers locaux de novembre du Journal Dimanche (2013).


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Action Toussaint 2020

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Faire vivre par-delà

Le départ d'un parent, d'une grand-mère, d'un vieil oncle, est toujours violent. Lorsqu'advient une mort accidentelle, le film d'une vie s'offre à nous. Qu'allons-nous retenir de lui ? Que vais-je continuer à vivre en sa mémoire ? Marie nous livre la manière dont elle a traversé le deuil.

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Dédée, continuer à avancer

Pendant de bien nombreuses années, Dédée a accompagné son mari Jean-Marie. Elle a vécu son départ au rythme du sablier qui s'écoule, jusqu'à ce qu'Alzheimer pose définitivement son jugement. Jusqu'à son dernier souffle, Dédée a senti l'amour de Jean-Marie pour elle. Plus d'infos sur : http://www.villeavivre.be

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