
Nous vivons dans
une culture de l’éphémère. Tout change et évolue. Mais une chose demeure :
la fin de vie et le décès que l’on ne peut éviter. Les funérailles, quelle
qu’en soit le forme, sont aussi une occasion de manifester et célébrer la
solidarité de la famille, des amis du défunt, des membres de l’Eglise. L’Eglise
n’a plus le monopole de ces célébrations. Il ne s’agit donc pas de maintenir
coûte que coûte les coutumes d’hier mais d’initier...