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jeudi 25 juillet 2013

Le sens des funérailles chrétiennes


Les quatre dimensions des funérailles chrétiennes
Les funérailles chrétiennes présentent quatre dimensions, quatre orientations :
Photo : Anne Van Bellingen
  • tout d’abord, elles se situent dans la préoccupation pastorale qui concerne celles et ceux qui sont dans l’épreuve, ou traversent le malheur. Lors de ses funérailles, le défunt est entouré par la prière des fidèles, car l’Église souhaite accompagner dans son passage la personne décédée ;
  • ensuite, les funérailles sont l’occasion de rendre grâce à Dieu pour tout ce que le défunt a vécu, ce qu’il a représenté pour les autres, dans ses relations d’amitié, dans ses actes de confiance. En même temps, nous demandons aussi à Dieu le pardon de ses éventuels manquements ou péchés ;
  • les funérailles sont encore une manière d’accompagner les proches qui sont dans la tristesse à cause du vide laissé par le défunt. Nous ne voulons pas les laisser seuls dans le deuil ; par la célébration nous souhaitons porter le défunt avec eux, et dans la ligne de l’espérance que Dieu nous offre, être source de consolation en manifestant notre proximité, par-delà les mots ;
  • enfin, la célébration chrétienne des funérailles exprime la foi en la résurrection. À la lumière de la résurrection du Christ, la mort est pour nous un ‘passage’, en Lui, vers une vie nouvelle, éternelle !
Cette célébration reprend le passé du défunt, témoigne au présent de notre communion avec ceux qui sont en deuil, et ouvre sur une résurrection à venir. Elle rassemble les quatre dimensions citées ci-dessus. Les prêtres doivent accorder une importance particulière au contact avec les familles, car pour rendre grâce à Dieu, il faut aussi chercher à connaître la personne décédée.

mardi 16 juillet 2013

Le cri

Moi si j'ai rompu le silence

C'est pour éviter l'asphyxie

Oui je suis un cri de défense

Un cri qu'on pousse à la folie

Je ne suis qu'un cri
(…)
Je suis la détresse infinie

Je ne suis qu'un cri*

Florilège des œuvres de Myriam Kahn (1942), sculpteur dont la terre est le matériau privilégié pour retrouver un langage populaire simple et sobre. Elle puise son inspiration dans ce que les gestes du quotidien recèlent d’humanité afin de dénoncer les injustices et relayer l’espérance.
http://users.skynet.be/kahn-sculpture

* Extrait de Je ne suis qu’un cri de Jean Ferrat (http://www.paroles-musique.com/paroles-Jean_Ferrat-Je_Ne_Suis_Quun_Cri-lyrics,p10379)