lundi 28 janvier 2013

Célébrer les funérailles pour les africains en Belgique



Photo ayaas.net
L’organisation liée aux célébrations des funérailles doit tenir compte de quelques paramètres : le lieu du décès, les valeurs et les habitudes traditionnelles à chaque pays ou cultures et les exigences d’où est issu le défunt ou la défunte  sans omettre  les formalités d’usages  en Belgique.


 Le décès en Belgique :
-    inhumation en Belgique
-    inhumation dans le pays d’origine 
Dans l’un ou l’autre cas, la célébration des funérailles peut se faire en présence  ou  en absence du corps du défunt. Ce dernier aspect influe considérablement dans la façon d’organiser la célébration. C’est l’occasion pour les organisateurs d’y mettre la couleur du pays d’origine dans la célébration par des gestes, des symboles et des paroles et des chants. 
Photo ayaas.net







Le décès dans le pays d’origine
-    Célébration des funérailles au jour de l’inhumation : 
     En signe de communion avec toute la famille qui vit le deuil au pays, nombreux sont ceux qui souhaitent que, le jour même d’inhumation, une célébration eucharistique soit organisée ici en Belgique en mémoire du défunt.
-    Célébration des funérailles le week end qui suit l’inhumation ou un autre jour possible : Il est souvent difficile d’être entouré des amis et connaissances en semaine, la famille endeuillée peut organiser la célébration le week end qui suit l’inhumation et un autre jour  afin d’avoir un maximum des personnes.

Dans l’un ou l’autre cas, la célébration se termine par un verre ou un repas selon les organisateurs.  Ceux-ci prennent le soin d’annoncer  immédiatement la célébration « du retrait de deuil » ou le 40è jour au cas où il n’a pas lieu le jour même de l’inhumation.

     Cet article fait partie du dossier 'Le deuil et la communauté africaine'. Voir    également:


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